Thèses

Thèses en cours :

Kathryn MURRELL (2025-2028) Meiotic-gene Modification to Improve Recombination in bread wheat. Thèse en cotutelle avec C LAMBING (Rothamsted Research (UK)) dans le cadre du projet MeMoIRe financé par le CIR1 de l’ISITE CAP2025 ; supervision à 50% (co-supervision C LAMBING, Rothamsted Research, UK) ; L’objectif est d’observer l’effet de la mutation ou de la surexpression des gènes TaAsy1, TaRecQ4 et TaHei10 sur la recombinaison homologue et homéologue chez le blé.

Antoine BACON (2024-2027) Identification et caractérisation d’un gène impliqué dans l’incompatibilité des croisements entre le blé et le seigle. Thèse financée dans la cadre du projet Plant2Pro COMPACT ; supervision à 50% (co-supervision P BARRET) ; L’objectif est de valider définitivement le gène candidat pour SKr et de débuter sa caractérisation. Ce projet intervient en partenariat avec le CNRGV à Toulouse (A BELLEC, S VAUTRIN) et l’Université de Tottori (Japon ; S SAKUMA). Dès la première année, une publication est en cours de rédaction.

Luxi YAN (2022-2026) Chromosome behaviour and their controlling genes in wheat hybrids with exotic species. Doctorat en cours à l’Université d’Agriculture du Sichuan (Chengdu, Chine). Co-encadrement scientifique avec le Pr DENGCAI LIU (superviseur à 100%). Dans le cadre de son doctorat, Luxi YAN a défendu avec succès une bourse gouvernementale lui permettant d’effectuer deux ans de stage dans notre laboratoire. Elle intervient dans le cadre du WP1 du projet ANR DeFI-Wheat sur l’étude de la synapse au niveau des introgressions.

Camille HAQUET (2024-2027) Amélioration de la recombinaison méiotique dans des croisements entre matériel élite et exotique chez le blé tendre. Contrat CIFRE en cours avec la société KWS Momont (G MOLERO et C JOHN-BEJAI) ; supervision à 100% ; L’objectif est d’observer l’effet des mutations ph1 et/ou ph2 sur la recombinaison chez des hybrides impliquant des blés synthétiques. Dans le cadre de son contrat doctoral, C HAQUET est amenée à se déplacer régulièrement chez le partenaire privé (Allemagne et UK) pour le développement de son matériel et le génotypage. Dès la première année, un article est en cours de publication (Haquet et al. 2025).